• Serial Eater (roman)

Serial Eater

Serial Eater

Collection : Rivages/Noir, 2009 | Numéro : 718 — 352 pages, 8,50 Euros dans les bonnes lbrairies. Parution en grand format, collection Rivages thriller, Paris, 2004

4ème de couv :

L’action débute le mardi 11 septembre 2001. C’est ce jour-là qu’un psychiatre parisien, Abdelaziz Padoue, reçoit un étrange patient qui interroge son médecin au lieu de se laisser examiner par lui. Le vendredi suivant, le 14 septembre, on trouve une main de femme sectionnée sur l’autel d’une église parisienne. Et c’est une jolie femme de trente-sept ans, Béatrice-Belle Darmentières, qui est désignée pour instruire l’affaire. Plus les cadavres se succèdent, plus la juge se passionne pour l’enquête, d’autant que le criminologue qu’elle s’adjoint ne lui est pas indifférent. Mais lorsqu’une grande passion survient alors que vous êtes chargée de l’affaire de meurtres en série la plus dingue qu’ait connue Paris et qu’il vous faut affronter par-dessus le marché un fiancé jaloux, des collaborateurs surtout préoccupés de leur carrière et des journalistes déchaînés, vous commencez à ne plus savoir quel dieu prier.

Serial eater éclaire l’alliance qui s’est nouée ces dernières années entre les religions et le meurtre.

C’est un polar mystique qui prend au sérieux les équations kabbalistiques ; c’est un polar féministe qui raconte de l’intérieur les contradictions d’une femme moderne ; c’est aussi un polar qui relève le défi d’expliquer les énigmes d’aujourd’hui grâce aux connaissances d’autrefois.

Paris-Match : 

« Kabbale explosive »… « Pris aux tripes, tout de suite. Par ce psychiatre qui reçoit un étrange client, aux inquiétantes manières. Par cette juge qu’on imagine ravissante, qui s’appelle Belle, saisie d’une incroyable affaire : des bouts de cadavres retrouvés dans des églises, mis en scène avec le pain, le vin, le Livre. Pris au cerveau également par ce ‘profileur’ prise de tête, séduisant puits de science qui semble si bien comprendre le tueur en série qu’on en vient à le soupçonner. Le meurtier lui-même, enfin, qui rôde de page en page, apparaissant toujours quand on l’attend le moins, qui terrorise le lecteur jusqu’à la scène finale.

Le Figaro Littéraire : 

« La morne existence de la juge d’instruction Béatrice Belle Darmentières est enfin chamboulée par les crimes d’un tueur en série, qui installe membres et organes de ses victimes sur les autels de diverses églises parisiennes. Voilà bien du nouveau dans le genre… Le profileur Soli, un personnage plutôt trouble chargé d’assister Belle dans son enquête, prend cela comme un rebus. Ce petit homme remonte aux sources des mots de la Thora afin de percer le mystère. De sorte que le roman – c’est son étrangeté – ressemble à une passionnante conversation sur les origines mystiques du mal. »

Une critique récente ici <—

Meilleur Polar. Genre : Intense et troublant.

…/… Lire la suite de la présentation du livre  ici <—

Laisser un commentaire