Onirocritiques/ Interprétations de rêves

Onirocrite : qui fait métier d'interpréter les rêves

Onirocrite : qui fait métier d’interpréter les rêves

TN-nom

 

Bandeau_PsychologiesL’intelligence des rêveurs n’est bornée que par la durée de la nuit.

Publiés dans le Magazine Psychologies, des interprétations de rêves d’inconnu(e)s, qui en ont envoyé le texte par e-mail, puis ont accepté un entretien téléphonique avec moi.

Une interview —   Tobie Nathan, les rêves nous aident à agir 

PhotoTN-PsychoMag

Tobie Nathan

Psycho_dec15* Entretien :  Tobie Nathan, l’ethnopsy qui travaille avec les djinns et les esprits

IllustrEloïse* Les illustrations d’Héloïse Oddos

Logo_Psychologies


à retrouver tous les mois dans Psychologies Magazine

Références :

Editions Odile Jacob, Paris, 2011 et 2013, 250 pages.

—> Commander sur Amazon

et, le 8 septembre 2016, en librairie, les secrets de vos rêves révélés…

4 réflexions sur “Onirocritiques/ Interprétations de rêves

  1. Je suis une très grande rêveuse. C’est dans certains rêves que mon inconscient me guide et conseille. Je fais tous les types de rêves, du prémonitoire (que j’appellerai intuitif) au rêve expérimental, au rêve obsessionnel, aux expérience post mortem…. ce sujet me passionne et j’aimerais faire avancer ce domaine de recherche. Mais comment ?

  2. La clef des songes ?
    J’ai souvenir, dans les débuts de ma pratique des ordinateurs, qu’il fallait régulièrement procéder à la défragmentation des fichiers – opération qui consistait dans le
    « rassemblement » de multiples fragments de fichiers dispersés afin de reconstituer des documents complets et homogènes. En effet, les fichiers étaient conservés sous une forme éclatée. Les « éclats » se trouvaient stockés dans divers secteurs du disque dur, souvent très éloignés les uns des autres, mais possédant tous un code commun de reconnaissance, de telle sorte qu’à la demande, l’ordinateur n’avait aucune peine à lire le document intégral, reconstituant la continuité de l’ensemble en dépit de cette dispersion, invisible pour l’utilisateur.
    Invisible, pas tout à fait, cependant. S’il n’était pas procédé régulièrement à cette opération de défragmentation, le disque dur finissait par s’engorger sous l’atomisation de milliers de fragments entremêlés les uns dans les autres, avec pour résultat un ralentissement général. D’où l’importance de la défragmentation, qui instaurait un « ordo ab chao », et une lecture plus fluide des documents et autres fonctions informatiques. Mise en ordre provisoire, cependant, puisque la fragmentation des fichiers reprenait aussitôt son cours, au fil des nouvelles actions informatiques.
    Je me souviens que l’utilisateur pouvait suivre cette opération grâce à des logiciels spécialisés. On voyait à l’écran, les fragments se déplacer à grande vitesse pour se poursuivre, se contourner, se déplacer, jouer à cache-cache et enfin, se rejoindre les uns les autres en fonction de leur « parentèle » commune.
    Une couleur était dédiée à chaque logiciel d’origine et le spectacle était grandiose. Parti d’une inextricable mosaïque de couleurs, l’écran devenait alors d’une consternante banalité avec ses grandes plages roses, bleues, jaunes, vertes… Mais, c’est à ce prix que l’ordinateur reprenait force et vigueur.
    Aujourd’hui, la défragmentation se fait automatiquement, à l’insu de l’utilisateur.
    Tout cela pour en arriver où ? Imaginons un instant que notre cerveau soit, à sa manière, un ordinateur. Imaginons un instant qu’il stocke les informations comme sur un disque dur. Imaginons un instant que, pour fonctionner correctement, il ait besoin de procéder, lui aussi, à une défragmentation régulière des données. Que se passera-t-il, alors ? Les fragments, en se croisant et en se « frottant » les uns aux autres durant quelques (millionièmes ?) de seconde, provoqueront un afflux d’images composites et la plupart du temps « sans queue ni tête» – «…rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie ? » – puisqu’elles n’ont rien réellement en commun sauf leur voisinage éphémère.

  3. Dear Mr. Nathan,
    as an assignment of my philosophy teacher (I’m an Italian high school student) – after having read Freud’s « the Interpretation of Dreams » – I’m now reading your work « A New Interpretation of Dreams ». I think your work is really stimulating and modern. Thanks.

  4. Monsieur Nathan, je viens de lire votre livre  » Nouvelle interprétation des rêves ». Cela m’ a beaucoup plu. Ça ouvre un peu d’espace devant soi.

    Cordialement.

Laisser un commentaire