Parution en Poche de Mon patient Sigmund Freud, l’incroyable roman de Tobie Nathan, le 13 octobre prochain — Points Seuil
Vienne, 1908. Isaac Rabinovitch, étudiant en médecine, croise le chemin de Sigmund Freud. Le grand professeur, déjà célèbre, s’attache à ce jeune Candide et lui parle librement : ses amours, ses rancoeurs, ses jalousies, autant de confidences qu’Isaac consigne dans un journal. Jour après jour, il y raconte les faits et gestes du maître, mais aussi la vie dans la Vienne finissante de 1900. S’y dévoilent tout ce qui n’a pas été dit sur la psychanalyse, la vie de Freud, le comportement des premiers psychanalystes, les excès et folies d’une révolution dans le siècle.
Un jour de décembre 2003, ce document dont personne ne soupçonnait l’existence tombe entre les mains d’un chercheur expatrié. Mais plus le lecteur entre avec passion dans la vie de cet inconnu surgi du passé, plus les malheurs l’accablent, comme si une malédiction était attachée à ce manuscrit dont il a hérité par hasard.
Croisant passé et présent, Tobie Nathan raconte Freud au travers de cette relation imaginaire. Il en profite pour peindre une fresque inouïe où l’on rencontre les psychanalystes des débuts, Freud et ses disciples — et surtout Otto Gross, ce psychanalyste anarchiste et toxicomane — mais aussi Tristan Tzara, Lénine, Gide, Malraux… Roman d’une totale liberté, au fait des dernières découvertes sur la biographie de Freud, et d’une imagination étourdissante.
« Célèbre pour ses travaux en ethnopsychiatrie, Tobie Nathan est aussi un formidable romancier! » Questions de femmes
« Vienne, 1908. Et si Freud avait confié sa vie à l’un de ses patients ? L’ethno-psychiatre Tobie Nathan prend toutes les libertés romanesques pour soulever les pans secrets de la vie de Freud. » Le Figaro Littéraire
« À lire d’une traite. » La Croix
« Mon patient Sigmund Freud raconte comment un universitaire met la main sur le journal intime d’Isaac Rabinovitch, lequel fut le confident du père de la psychanalyse durant une quinzaine d’années. Bref, voilà Freud sur le divan et c’est palpitant… » Le Point